Lors d'un long week end du mois de Mai où il fît super beau (donc probablement le seul, vu que le ciel a beaucoup pleuré ce mois-ci). Je suis allée me promener et découvrir la forêt qui entoure Louveciennes (où je vis depuis début septembre, il était temps, me direz-vous!). Mes trois appareils sous le bras (penny, le chinois et mon numérique), j'ai essayé de capter au mieux la lumière que les arbres filtraient.
28/02/2010, je réédite ce message pour copier le commentaire que mon père a laissé. Il vaut, lui aussi, la peine d'être mis en lumière. Je vous laisse apprécier...
L'air avait la phosphorescence verte des coquillages arborifères....
J'étais englué dans ton regard et pourtant, pourtant, le fleuve de tes yeux coulaient déjà vers ce néant...
Un chemin de faire avalé de lumière, un cheval de bois sans manège enchanté. Il n'y a rien.
J'étais englué dans ton regard et pourtant, pourtant, le fleuve de tes yeux coulaient déjà vers ce néant...
Un chemin de faire avalé de lumière, un cheval de bois sans manège enchanté. Il n'y a rien.
L'air avait la phosphorescence verte des coquillages arborifères....
RépondreSupprimerJ'étais englué dans ton regard et pourtant, pourtant, le fleuve de tes yeux coulaient déjà vers ce néant...
Un chemin de faire avalé de lumière, un cheval de bois sans manège enchanté. Il n'y a rien.
C'est très beau le père.
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